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Virginie a osé sortir de sa zone de confort pour se réaliser dans un métier plus aligné avec ses envies, ses valeurs et sa passion de l’humain. Elle est aujourd’hui une vidéaste et intervieweuse épanouie.

Virginie Maizeroi pilote des projets d’aménagement urbain pendant plus de vingt ans. Progressivement, le besoin de changer de vie grandit.

Passionnée par la rencontre et l’échange, elle veut explorer de nouveaux horizons. Esprit indépendant, elle aspire aussi à travailler en freelance.

En 2023, une envie s’impose comme une évidence : réaliser des vidéos et des interviews, pour créer du lien et révéler la singularité de chacun.e.

𝗗𝗲𝘀 𝗺𝗶𝗰𝗿𝗼𝘀-𝘁𝗿𝗼𝘁𝘁𝗼𝗶𝗿𝘀 𝗮𝘂𝘅 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄𝘀 𝗿𝗮𝗱𝗶𝗼

Virginie se lance alors un défi : se filmer et partager ses premières vidéos sur Instagram. Elle expérimente aussi le micro-trottoir.

Elle va à la rencontre d’inconnu.e.s, qu’elle interroge sur leurs aspirations. Ces moments privilégiés de partage donnent naissance à une quarantaine de vidéos 𝗵𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗶𝗻𝘀𝗽𝗶𝗿𝗮𝗻𝘁𝗲𝘀, publiées sur Instagram.

Virginie rejoint Coapi – coopérative d’entrepreneurs début 2024, dans le cadre d’un Contrat d’appui au projet d’entreprise (CAPE), pour concrétiser son projet et débuter son activité de vidéaste.

Elle fréquente le studio audiovisuel de La Caale, espace de coworking à Marans et réalise, à deux reprises, des séries d’interviews vidéo pour le tiers-lieu. Elle collabore également avec La Rochelle Université pour filmer des lycéen.ne.s en immersion sur le campus.

Elle fait aussi ses débuts sur RCF Charente-Maritime avec l’émission Ici, ici, c’est la jeunesse ! : un rendez-vous mensuel qui donne la parole aux jeunes sur des thématiques intergénérationnelles qu’elle choisit.

𝗗𝗲𝘀 𝗰𝗮𝗽𝘀𝘂𝗹𝗲𝘀 𝘃𝗶𝗱𝗲́𝗼 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲𝗻𝗲𝘂𝗿.𝗲.𝘀

Aujourd’hui, Virginie propose aux entrepreneur.e.s une 𝗼𝗳𝗳𝗿𝗲 𝗰𝗹𝗲́ 𝗲𝗻 𝗺𝗮𝗶𝗻
de capsules vidéo pour accroître leur visibilité sur les réseaux sociaux. Avec un dispositif simple et 𝗮𝗰𝗰𝗲𝘀𝘀𝗶𝗯𝗹𝗲, adapté à leurs besoins et contraintes.

Elle réalise, avec un smartphone, des vidéos 𝗮𝘂𝘁𝗵𝗲𝗻𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 et vivantes qui mettent en lumière la personnalité et l’univers de chaque entrepreneur.e.

Tout commence par un échange d’une heure sur le métier, l’approche et les valeurs de chacun.e. Virginie mène ensuite une 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗶𝗲𝘄 𝗱’𝘂𝗻𝗲 𝗵𝗲𝘂𝗿𝗲, en studio. Avec une écoute bienveillante et des questions ciblées, elle aide chacun.e à prendre confiance et à formuler sa vision.

Montage, musique, sous-titres : à partir de cet entretien, elle produit des capsules vidéo au format vertical, adaptées aux réseaux sociaux.

Chaque entrepreneur.e peut ensuite les publier, à son rythme. Et bénéficier de la puissance de la vidéo pour communiquer sur son expertise.

Retrouvez Virginie sur son compte Instagram : osevirginiemaizeroi.

#coapi #contratcape #video #reseauxsociaux #videaste #interview #entrepreneur

Plus de la moitié du PIB mondial dépend fortement de la nature et de ses services. Article de célébration du World Bee Day 2024 : une illustration dessinée par un humain et le partage de quelques cadres conceptuels sur la Nature. 

Chaque 20 mai est l’occasion de rappeler que nous dépendons tous de la survie des abeilles. 

La Journée mondiale des abeilles animée par l’ONU, Bee Day, met l’accent sur la pollinisation et son action directe sur trois cultures pour l’alimentation humaine sur quatre dans le monde. Selon le référentiel des Objectifs de Développement Durable, cette Journée cible directement l’ODD 15, Vie terrestre

“Objectif 15 : Préserver et restaurer les écosystèmes terrestres, en veillant à les exploiter de façon durable, gérer durablement les forêts, lutter contre la désertification, enrayer et inverser le processus de dégradation des sols et mettre fin à l’appauvrissement de la biodiversité”

La pollinisation est un processus fondamental pour la survie des écosystèmes. Selon l’ONU, près de 90% des plantes sauvages à fleurs du monde, ainsi que 75% des cultures vivrières et 35% des terres agricoles à l’échelle de la planète dépendent des abeilles et autres pollinisateurs, tels que les papillons, les chauves-souris et les colibris. Dans le monde, trois cultures sur quatre qui produisent des fruits ou des semences destinés à l’alimentation humaine dépendent en partie des abeilles et d’autres pollinisateurs. 

Les abeilles, meilleures ambassadrices des pollinisateurs 

Les abeilles semblent jouir d’un réel capital sympathie pouvant rassembler au-delà des frontières.

C’est donc sur l’abeille, comme première incarnation de la Nature, que j’ai souhaité travailler un concept portant ce message du rôle de la Nature dans notre vie, et tous les services rendus “gratuitement” par les écosystèmes naturels, de l’importance de les préserver et de les restaurer. 

Interpeller le plus grand nombre, mais en faisant sourire, pour commencer. Le concept :   

Nature: What if… ??

Série d’illustrations humoristiques sur les services écosystémiques, A series of light-hearted illustrations on ecosystem services.

Première illustration, dessinée par un humain : Nature: What if…BEE? © Vincent Seel

Le concept :

Que se passerait-il, si, tout d’un coup, nos ambassadeurs de cette nature, si “mignons”, commençaient sérieusement à s’énerver… jusqu’à descendre dans la rue et manifester, ou bien encore nous envoyer leurs factures ? et bien pire encore…

Cette idée m’a été inspirée lors d’une conférence sur le lien entre climat et biodiversité lors de l’intervention de Pavan Sukhdev, ancien président du WWF, fondateur du GIST Impact.

« The Bees don’t send you an invoice for pollination services, the Trees don’t send you an invoice for air cleaning and carbon capture »

« Les abeilles ne vous envoient pas de facture pour les services de pollinisation, les arbres ne vous envoient pas de facture pour la qualité de notre air et la capture du carbone”.

Cette série d’illustrations, un arbre, un fleuve… s’accompagnerait d’un cahier d’inspirations, un catalogue de déclinaisons dans le monde réel, d’installations sur commande à des actions de hacking en ville, dont la plus déjantée repose sur un groupe de volontaires -bien énervés- prêts à manifester en ville en collants jaunes… 

Travailler sur la Nature

Nouveaux cadres conceptuels autour de la Nature, portés par de nombreuses initiatives internationales

Du point de vue des référentiels internationaux, pour tous les professionnels RSE/ESG/ESS, cet article sur la Journée mondiale des abeilles est aussi l’occasion de mettre en avant les nouveaux cadres conceptuels autour de la Nature, portés par de nombreuses initiatives internationales (IPBES, IUCN, TNFD, COP…). 

Le glossaire TFND apporte des définitions bien plus précises et différents termes à maîtriser. 

Il nous faut distinguer la “Nature” (le monde naturel, mettant l’accent sur la diversité des organismes vivants, notamment les êtres humains, et sur leurs interactions les uns avec les autres et avec leur environnement), 

du “Capital naturel” (le stock de ressources naturelles renouvelables et non renouvelables telles que les plantes, les animaux, l’air, l’eau, les sols et les minéraux qui se combinent pour produire un flux d’avantages pour les personnes) 

et des “Services écosystémiques” évoqués dans cet article : les contributions des écosystèmes aux avantages utilisés dans l’économie et les autres activités humaines. 

Autant de nouveaux cadres conceptuels et référentiels inspirants ! Y compris pour les collègues du pôle RSE de Coapi

***

Quelques liens : 

  • Rapport de l’IPBES qui présente (P 50) un cadre conceptuel basé sur un modèle très simplifié des interactions complexes entre le monde naturel et les sociétés humaines. 
  • La représentation Nature, entreprises et société : figure 9 “Nature, entreprises et société” du rapport de la Taskforce on Nature-related
  • Découvrir l’approche de Solutions fondées sur la Nature  
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Marie-Anne compte parmi les pionnières de l’UX Writing. Un métier récent, et encore méconnu, qui consiste à rédiger les contenus qui facilitent l’expérience de l’utilisateur d’un site ou d’une application.

Trilingue, Marie-Anne Chaloupecky grandit à la croisée de plusieurs cultures, au Royaume-Uni et en Ouganda, avant de poursuivre des études linguistiques en France.

C’est à Amsterdam qu’elle débute dans le Content Design. Rédactrice UX puis manager chez Booking. com, elle contribue pendant six ans à l’évolution des équipes UX de cet acteur de référence. Et à façonner les pratiques d’un métier alors émergent.

En 2018, avec 𝗪𝗮𝘆𝘀 𝗼𝗳 𝗪𝗼𝗿𝗱𝘀, Marie-Anne crée son activité indépendante de rédactrice UX, consultante et coach.

Passionnée de voile, elle décide de s’enraciner à La Rochelle, sa ville de cœur, en 2020. Adepte de la collaboration et du partage entre professionnel.le.s, elle rejoint le collectif UX Writers FR, puis Coapi – coopérative d’entrepreneurs en 2023.

𝗕𝗮̂𝘁𝗶𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗳𝗼𝗻𝗱𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗫 𝗪𝗿𝗶𝘁𝗶𝗻𝗴

Marie-Anne accompagne des entreprises françaises et internationales, comme Back Market ou Brigad, qui souhaitent développer la rédaction UX, ou repenser leurs 𝗽𝗿𝗼𝗰𝗲𝘀𝘀𝘂𝘀 pour instaurer une collaboration fluide entre les différents métiers chargés de l’expérience utilisateur.

Sa méthode est résolument orientée terrain. Elle intègre d’abord les équipes comme rédactrice UX : une phase d’observation et d’𝗲́𝗰𝗼𝘂𝘁𝗲, nécessaire pour formuler des recommandations adaptées.

Création d’un référentiel et de process, définition des rôles, outils, montée en compétences des salarié.e.s, recrutement : selon les besoins, Marie-Anne intervient ensuite pour établir 𝗹𝗲𝘀 𝗯𝗮𝘀𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗫 𝗪𝗿𝗶𝘁𝗶𝗻𝗴 dans l’entreprise, optimiser l’organisation ou accompagner la croissance d’une équipe.

Objectifs : améliorer l’efficacité, mais aussi préserver le 𝗯𝗶𝗲𝗻-𝗲̂𝘁𝗿𝗲 des salarié.e.s, dans des métiers complexes, en constante transformation.

Elle anime également des 𝗮𝘁𝗲𝗹𝗶𝗲𝗿𝘀 pour aider les équipes à faire émerger des solutions pour améliorer leur collaboration. Elle intervient plus ponctuellement, en tandem, pour guider les salarié.e.s sur une question concrète de rédaction UX.

𝗨𝗻 𝗰𝗼𝗮𝗰𝗵𝗶𝗻𝗴 𝘀𝗽𝗲́𝗰𝗶𝗮𝗹𝗶𝘀𝗲́ 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹.𝗹𝗲.𝘀 𝗱𝗲 𝗹’𝗨𝗫

Coach certifiée, Marie-Anne accompagne aussi les professionnel.le.s de l’UX, en individuel, dans leurs questionnements sur leur 𝗲́𝘃𝗼𝗹𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗰𝗮𝗿𝗿𝗶𝗲̀𝗿𝗲.

Elle les aide à mieux concilier vie professionnelle et personnelle, en prévention du burn-out, ou dans le contexte d’un congé maternité ou parental.

Un accompagnement autour de la parentalité, qu’elle propose aussi dans sa pratique de doula.

Retrouvez les prestations de Marie-Anne en suivant les liens en commentaire.

#coapi #UX #UXwriter #UXwriting #contentdesign #coaching

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La coopération est la clé pour accompagner la transformation des organisations et relever les défis de la transition. C’est la conviction d’Anne-Laure, facilitatrice en intelligence collective et formatrice.

Anne-Laure Prévost évolue tout d’abord au sein de grands groupes, ou d’organisations à but non lucratif comme le mouvement Wikimédia, avant de se former aux méthodes d’intelligence collective à CY Cergy Paris Université.

Depuis huit ans, elle accompagne les entreprises, les collectivités et les associations dans leurs transformations collectives.

Avec une approche 𝗺𝘂𝗹𝘁𝗶𝗱𝗶𝘀𝗰𝗶𝗽𝗹𝗶𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲, qui puise dans les méthodes d’intelligence collective, les outils de gouvernance partagée et la facilitation graphique.

Elle est aussi formatrice dans ces trois domaines. Elle rejoint Coapi – coopérative d’entrepreneurs début 2023.

𝗜𝗻𝘁𝗲𝗹𝗹𝗶𝗴𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗰𝗼𝗹𝗹𝗲𝗰𝘁𝗶𝘃𝗲 𝗲𝘁 𝗴𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗮𝗴𝗲́𝗲

Avec chaque structure, Anne-Laure co-construit un dispositif sur-mesure et adapté à ses enjeux. Objectif : créer les conditions qui permettent à chaque collectif de faire émerger, en 𝗮𝘂𝘁𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗲, des solutions créatives pour atteindre un but commun.

Ateliers de travail collaboratif, séminaires, temps forts : elle guide ensuite les équipes, dans un 𝗰𝗮𝗱𝗿𝗲 de travail souple et sécurisant, qui favorise l’implication et l’expression de chacun.e.

Anne-Laure accompagne aussi les structures qui souhaitent repenser leurs processus de décision pour collaborer plus efficacement, ou faire évoluer leur 𝗴𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗻𝗮𝗻𝗰𝗲 vers des pratiques plus inclusives et participatives.

Adepte du travail en réseau, elle collabore avec d’autres spécialistes de l’intelligence collective : ALEZZI et les coopératives Les Maisons de l’Intelligence Collective et l’Université du Nous.

𝗟𝗲 𝘃𝗶𝘀𝘂𝗲𝗹 𝗮𝘂 𝘀𝗲𝗿𝘃𝗶𝗰𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗶𝗱𝗲́𝗲𝘀

Pour Anne-Laure, la facilitation graphique est un levier privilégié pour soutenir l’émergence de l’intelligence collective. Elle intervient donc aussi comme 𝗳𝗮𝗰𝗶𝗹𝗶𝘁𝗮𝘁𝗿𝗶𝗰𝗲 𝗴𝗿𝗮𝗽𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲 auprès de structures comme l’association CEC (Convention des Entreprises pour le Climat) Nouvelle-Aquitaine.

Avec le collectif 𝗠𝗮𝗿𝗸𝗲𝗿 𝗣𝗼𝘄𝗲𝗿, elle forme les professionnel.le.s à cette méthode visuelle impactante, qui dynamise les échanges, facilite la compréhension et la construction d’une vision partagée.

Du 22 au 24 mai, Anne-Laure animera avec Philine Bellenoue une 𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗳𝗮𝗰𝗶𝗹𝗶𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗴𝗿𝗮𝗽𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲 à Poitiers. Posture, outils et mises en situation : un parcours de formation complet, en petit groupe, pour acquérir toutes les compétences du scribing.

Pour en savoir plus et vous inscrire, suivez le lien en commentaire.

#coapi #cooperative #intelligencecollective #facilitationgraphique #scribing #formation

La Rochelle -> Japan -> Corea -Japan and Corea Off Road, list of 21 design thinking questions, and other experiences or people into sustainability and research to meet… 

Noémie est au Japon puis en Corée. Logique.

Ainsi qu’elle l’indique dans Futur(s), elle a “l’impression que parfois, le futur existe déjà là-bas. J’y remarque des germes de futur depuis notre point de vue occidental, en rapport avec le vieillissement de la population, le lien social et la technologie bien sûr, mais aussi la gestion des catastrophes naturelles ou encore le rapport au vivant”. Elle livre dans sa toute dernière newsletter les signaux faibles venant du Japon qu’elle trouve « interpellants« . 

Futur(s) | Inspirations japonaises Et si le futur existait déjà en Asie de l’Est ?

Notre collègue en conclusion de sa newsletter se déclarait “preneuse de regards éclairés pour ce voyage”. Chiche ! Ici, au sein de Coapi, nous sommes plusieurs collègues câblés -de par nos activités- sur l’international ou juste voyageurs et curieux, à l’avoir prise au mot ! Nous avons créé ensemble pour elle un fil d’Ariane, qu’elle suivra (ou non) durant cette mission sur site, dans deux pays incontournables de par son métier. 

Qu’est-ce qu’un Fil d’Ariane ? KESAKO

Le Fil d’Ariane est l’une des nombreuses méthodes de voyage expérimental testées en réel durant 3 ans de recherche-action en tourisme et marketing territorial, au sein du labo Expériences Touristiques. Cette méthode est  issue d’un ouvrage socle, une bible du Voyager autrement : THE liste du collectif Latourex, en français et en anglais, en accès libre. Toujours aussi peu exploitée…

Voyager autrement > FIL D’ARIANE – définition académique

“A l’aide de l’annuaire du téléphone (ou par tout autre moyen) trouver dans une ville étrangère que l’on souhaite visiter, son Ariane.

Lui demander de faire la liste de ses 21 (vingt-et-un) lieux préférés dans sa ville.

Noter par un point l’emplacement de chacun d’eux sur le plan de la ville.

A l’aide de cette succession de points, établir un itinéraire qui servira de fil conducteur à la découverte du dédale urbain.”

Adapté à notre époque, et au contexte du voyage de Noémie, j’ai invité les collègues à contribuer. Voici donc le Fil d’Ariane constitué des propositions des nouveaux collègues de Noémie. Enjoy ! Apéro retour d’Asie aux Cabanes Urbaines à programmer.

Fil d’Ariane Coapi un peu barré pour notre collègue au Japon et en Corée

  1. En hommage justement au Latourex, en croisant les doigts pour que ce travail te soit encore inconnu, choisir 1 expérience à faire dans la liste à un moment du voyage où tu es disponible et d’humeur joueuse : all yours >>> https://www.latourex.org/latourex_fr.html 
  2. Goûter au camembert Gérard (…et nous dire s’il a le même goût qu’un camembert français de France)
  3. Si tu vas à Kobe, aller saluer les équipes du Professor  YOSHINAGA Jun 【吉永 潤】de la Faculty of International Human Science, rencontrées au dernier congres international ISAGA qui s’est tenu à La Rochelle sur le thème “Simulation and Gaming for social and environmental transitions”.
  4. AuthaGraph World Map Cartographie monde >>> Si jamais d’une manière ou d’une autre, tu arrives à prendre contact avec ce designer Hajime Narukawa dont le studio semble être à Tokyo, c’est une révolution design de carte du monde et impossible de prendre contact pour tester l’implémentation sur Datagone… 
  5. Revenir avec plus de contenu sur le design by disaster !!!
  6. Défi culturel : arriver vers un Japonais et lui faire la bise, à la rochelaise ! Pire, un “free Hugg” ?? A voir en PS, d’autres suggestions “do/not” de collègues spécialisés en diversité culturelle…
  7. Avoir au moins une fois le plaisir d’un bain onsen, idéalement au vert, dans une auberge ryokan
  8. Évidemment, marcher au moins une fois en pleine nature, lever les yeux, respirer, t’autoriser à faire un calin à un arbre, dans une bambouseraie par exemple
  9. Creuser cette histoire de jeans et de denim réputés qui pourrait bien t’intéresser : flaneurs.net/blog/tout-ce… Toujours sur le textile, selon son fils créateur, s’intéresser au Boro et à la technique de broderie Sashiko.
  10. Pour une des fans du Japon de la coopérative, revenir avec un mot ou un selfie avec Yâro Abe, le mangaka de la Cantine de minuit. Plus accessible, précise-t-elle, tu peux aussi trouver durant ton voyage des izakaya/meshiya/shokudo/teishoku qui te feront penser à la série ? Manger dans ce type de restaurant-cantine, ouverte de minuit à 7h, t’assure de découvrir autrement le Japon, les japonais dans toute leur extraordinaire diversité.
  11. Goûter un warabimochi ou un dorayaki (dessert aux haricots rouges)
  12. Ramener à une autre grande fan de la coopérative un papier japonais (papier washi fabriqué en fibre de murier, avec des motifs fleuris ou géométriques magnifiques)
  13. Chiche : Manger au moins une fois du poisson cru… au petit déjeuner
  14. Participer à un cours de pâtisserie japonaise
  15. A Kyoto, traverser les 10 000 portes torii du sanctuaire de la déesse Inari, le plus grand sanctuaire shinto du Japon sans être essoufflée !
  16. Si tu vas à Nara, saluer pour nous le grand bouddha de bronze du temple Todai-ji et donner à manger aux daims (considérés comme des animaux sacrés) sans se faire pincer tes doigts ou tes jolies fesses et attendre leur révérence… 
  17. Se rendre au TeamLab Planet à Tokyo pour vivre une expérience immersive incroyable (voyage visuel, sonore et sensoriel).
  18. Faire l’expérience d’oublier ton téléphone portable dans une cabine d’essayage ou autre endroit public et demander aux policiers dans un Koban (petit poste de police) de le retrouver… ou juste attendre et voir ce qui se passe ?
  19. Pour terminer sur la Corée, spécifiquement : Faire pour nous à Séoul l’escape Game conçu par Miri Cha pour l’Alliance citoyenne pour les droits humains en Corée du Nord
  20.  Visiter pour nous le Seoul startup Hub dans le district de Mapo ou la Pangyo Techno Valley dans celui de Pangyo, pour voir si certaines pratiques pourraient être répliquées ici chez nous ? 
  21. Enfin, obligatoire du coup, prendre le train au moins une fois dans chaque pays 😉 en référence au dossier de la revue Espaces 

Bon voyage Noémie 😉 良い旅を 

Sa newsletter du jeudi reprendra en Mai. Rendez-vous sur circa 2040 – pour en savoir plus sur ses activités autour des Futurs des modes de vie | Prospective créative et stratégique | Design fiction. 

Opportunité 5, 6 et 7 juin 2024 > Il reste encore quelques places pour le séminaire qu’elle animera à Paris “Facilitez les conversations stratégiques grâce au design fiction”, sûr que cette formation sera saupoudrée déjà d’inspirations japonaises… 

PS Liste alternative de défis culturels pour Noémie si elle n’ose pas embrasser et faire un câlin à un Japonais 

Nous t’épargnerons un défi sur la Carte de visite, car c’est aussi un voyage pro… Genre “Donner ta carte de visite d’une mains en regardant droit dans les yeux ton interlocuteur 😉” 

Recevoir une carte de visite d’une seule main (au lieu de deux) et la mettre dans la poche de son jean (pour les Japonais, c’est irrespectueux). Il faut la ranger soigneusement dans un porte-cartes.

Au choix, donc : 

  • Payer avec un billet froissé (il faut qu’il soit bien plié) (irrespectueux aussi)
  • T’agacer dans une file d’attente en critiquant les personnes et en parlant fort, 
  • Essayer de doubler dans une file d’attente, ou mettre son sac à dos sur son dos et bousculer les autres dans le métro… Le sac à dos se porte devant et on fait attention à ne bousculer personne.
  • Prendre des photos d’un Japonais sans sa permission
  • Lire un livre érotique / à controverse dans le métro, avec le titre bien lisible. En effet, il est bien vu de cacher la couverture de son livre avec un couvre-livres…

Merci aux collègues du collectif pour ces contributions : Emeline Crochet, Jean-charles Briatte, Anne-Lise chailloux, Caroline Chebassier et virginie Mazeroi ainsi que la “petite nouvelle”, Christelle CHATELAIN

Illustrations japonaises de Vincent Seel, jeune graphiste illustrateur free-lance

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Anne-Lise est formatrice en marketing et management interculturel. C’est avec la même énergie communicative qu’elle transmet les savoirs et partage sa passion pour la pédagogie.

Professionnelle du marketing depuis plus de vingt-cinq ans, Anne-Lise Chailloux a travaillé dans le secteur agroalimentaire, en Allemagne et en Charente-Maritime, avant de s’engager dans la formation en 2007. 𝗙𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗿𝗶𝗰𝗲 𝗶𝗻𝗱𝗲́𝗽𝗲𝗻𝗱𝗮𝗻𝘁𝗲, elle a rejoint Coapi en 2022.

Aujourd’hui Anne-Lise intervient dans de nombreux établissements d’enseignement supérieur : université, grandes écoles et instituts de formation supérieure à La Rochelle, Niort et Saintes.

Elle y forme au 𝗺𝗮𝗿𝗸𝗲𝘁𝗶𝗻𝗴 stratégique, opérationnel et international, mais aussi au management interculturel, des étudiant.e.s, depuis le Bachelor jusqu’aux diplômes de niveau Bac + 5, et des élèves ingénieur.e.s.

🔸 Pour Anne-Lise, la transmission des savoirs repose sur une 𝗽𝗲́𝗱𝗮𝗴𝗼𝗴𝗶𝗲 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗮𝗰𝘁𝗶𝘃𝗲, vivante et ouverte sur le monde. Les cas pratiques, fondés sur des situations réelles, y jouent un rôle privilégié.

En collaboration avec les FRANCOFOLIES DE LA ROCHELLE, et emilie yakich, Co-directrice du festival, elle a notamment conçu avec Marie-Noëlle RIMAUD, enseignante-chercheuse chez Excelia, l’étude de cas pédagogique : “Francofolies et développement durable : convaincre ses parties prenantes de s’engager”.

Adaptée à tous les niveaux d’études, cette étude de cas a été proposée aux étudiant.e.s dans deux domaines de compétences : la RSE et le marketing stratégique et opérationnel.

Près de 150 étudiant.e.s ont travaillé autour de la démarche développée par le festival, certifié ISO 20121, pour consolider ses engagements sociaux et environnementaux et sensibiliser ses parties prenantes.

Publiée à l’automne 2023, l’étude de cas a figuré dans les finalistes du Prix du meilleur cas pédagogique en Développement Durable ou Responsabilité Sociétale des Organisations.

🔸 Anne-Lise est aussi pleinement engagée dans le projet collectif de notre coopérative.

Elle anime un programme complet d’𝗮𝘁𝗲𝗹𝗶𝗲𝗿𝘀 dédiés au marketing pour les porteuses et porteurs de projet, accompagné.e.s par Coapi dans le cadre d’un Contrat d’appui au projet d’entreprise (CAPE).

#coapi #cooperative #cae #formation #independant #freelance #pedagogie

🏆 Jeudi dernier, c’était la quatrième édition des Trophées CyclaB de l’Economie Circulaire. Une belle soirée dédiée au réemploi et aux initiatives d’entrepreneur.e.s engagé.e.s en faveur de la transition sur le territoire.

Parmi les huit lauréats, Joel Moulin a été récompensé dans la catégorie Mobilité. Un grand bravo pour ce trophée mérité !

🚲  Joël a rejoint Coapi – coopérative d’entrepreneurs dans le cadre d’un Contrat d’appui au projet d’entreprise (CAPE). Créateur de 𝗟’𝗔𝘁𝗲𝗹𝗶𝗲𝗿 𝗱𝘂 𝗕𝗶𝗰𝗹𝗼𝘂, il restaure avec un soin particulier des vélos anciens, souvent issus de déchetterie, en privilégiant le réemploi de pièces. Il répare et personnalise aussi les vélos des particuliers.

Animateur Mobilité à Vélo, Joël est aussi engagé dans la promotion et l’éducation à la 𝗺𝗼𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗼𝘂𝗰𝗲. Il est référencé par Génération Vélo pour le programme Savoir Rouler à Vélo, dédié aux 6-11 ans.

🚴  Il intervient également auprès des collectivités, des entreprises et des particuliers dans le cadre de projets de 𝗿𝗲𝘁𝗼𝘂𝗿 𝗮̀ 𝗹’𝗮𝘂𝘁𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗲 : un accompagnement individuel ou collectif, pour se remettre en selle et se déplacer à vélo, en toute sécurité.

Joël propose aussi des ateliers d’initiation à la mécanique dans le cadre du programme Objectif Employeur Pro-Vélo, porté par la Fédération des Usagers à Bicyclette.

A l’Atelier CyclaB, il bénéficiera d’un accompagnement, d’un accès à la matériauthèque et au laboratoire partagé « Vélo » du tiers-lieu.

Un grand bravo à tous ses compagnons lauréats :

  • Sintaa / Adrien PIERRE / Insta : @sintaa.sceno / Adrien PIERRE crée des scénographies évènementielles durables à partir de matériaux de réemploi. Disponibles à la location, les structures sont conçues pour être réutilisées plusieurs fois, un atout pour concilier le durable à l’éphémère.
  • 19.14 / Marion GISSLER / Design Textile / Web : 19-14.fr / Insta : @1914tapdesign / Fb : 1914TapDesign / Tapissier en siège et designeuse, Marion GISSLER enrichit son activité avec l’économie circulaire. À partir de chutes de tissus ou de matières souples, elle crée des pièces uniques (assises, transats, sacs, cache-pot en textile…).
  • Bois Carbone / Jérôme D’INCAN / Upcycling / Web : boiscarbone.fr / Insta : @boiscarbone / Jérôme d’INCAN réalise du mobilier et des parements en bois brûlé. Il utilise une technique japonaise : le Shou Sugi Ban. Elle permet de protéger le bois en le rendant plus résistant. C’est parfaitement adapté au bois de réemploi, qui revêt après traitement une esthétique noire et texturée.
  • Studio Imago / Aurélie SELLIN / Architecture et réemploi / Web : studio-imago.com / Insta : @studio_imago_architecture / Fb : studioimagoarchitecture / Lk : studio-imago-architecture / L’agence d’architecture éco-responsable Studio Imago s’engage de l’éco-conception à l’utilisation de matériaux de réemploi pour réduire l’impact de la construction. Elle s’entoure d’un réseau solide pour passer à l’action.
  • La Grande Collecte / Candice LARTIGUE / Innovation / Insta : @la.grande.collecte / L’association La Grande Collecte s’engage pour la réduction des déchets textiles et la promotion de l’économie circulaire afin de mettre fin à l’export de nos déchets hors de nos frontières. Le projet de Mini Station Nomade est un outil de sensibilisation et de prototype pour le recyclage du textile.
  • Méliglace / Mélanie BOUTTEAUD / Agroalimentaire / Fb : Méliglace / Insta : @meliglace / Mélanie BOUTTEAUD fabrique des glaces artisanales à partir de produits locaux et bio et valorise des fruits et légumes invendus. Elle utilise des contenants récupérés et réutilisables. Méliglace contribue à la lutte contre le gaspillage alimentaire et à la réduction des déchets.
  • Les Gaillardes / Soraya ZEMOURI / Coup de cœur / Web : lesgaillardes.fr / Insta : @gaillardes / Fb : LesGaillardes / Les Gaillardes sont une troupe de théâtre qui organise chaque année une itinérance à vélo éco-responsable à travers la Charente-Maritime. C’est un festival créateur de lien social qui vise la décarbonation. Bientôt un vélo-cuisine upcyclé, fabriqué à l’Atelier CyclaB, accompagnera la troupe, il contribuera à promouvoir une cuisine anti-gaspi et zéro déchet et pourra être partagé avec d’autres structures.

#tropheescyclab#entrepreneursengagés#antigaspillage#zerodechet#reemploi#economiecirculaire#upcycling

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Il y a quelques jours, c’était notre CoapiDay de printemps ! Pour les membres de notre coopérative, c’est un rendez-vous privilégié de travail en commun, mais aussi de convivialité. Au programme : développement des compétences, coopération et bonne humeur !

Fin mars, les porteuses et porteurs de projet et les entrepreneur.e.s de Coapi – coopérative d’entrepreneurs se sont réuni.e.s pour une journée complète de travail et d’échanges, organisée autour de cinq temps collectifs :

👉  𝗦𝗲 𝗳𝗼𝗿𝗺𝗲𝗿 avec un atelier « Stratégie commerciale et marketing », dédié aux porteuses et porteurs de projet accompagné.e.s en Contrat d’appui au projet d’entreprise (CAPE) et animé par Anne-Lise Chailloux

👉  𝗔𝗽𝗽𝗿𝗼𝗳𝗼𝗻𝗱𝗶𝗿 𝘀𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶𝘀𝘀𝗮𝗻𝗰𝗲𝘀, grâce à un atelier de co-développement sur l’Économie Sociale et Solidaire, animé par Delphine Hufschmitt

👉  𝗣𝗮𝗿𝘁𝗮𝗴𝗲𝗿 un déjeuner chaleureux au restaurant durable des Cabanes Urbaines

👉  𝗖𝗼𝗹𝗹𝗮𝗯𝗼𝗿𝗲𝗿 en groupes de travail, pour développer ensemble les projets de la coopérative pour les prochains mois

👉  𝗝𝗼𝘂𝗲𝗿 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗹𝗹𝗶𝗴𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗰𝗼𝗹𝗹𝗲𝗰𝘁𝗶𝘃𝗲 avec des serious games coopératifs, animés par Anne-Laure Prévost, pour favoriser l’accueil des nouveaux membres et la dynamique collective.

Des savoirs partagés, des liens de confiance et de solidarité et un collectif mobilisé pour construire ensemble un projet commun : c’est cela aussi, entreprendre en coopérative !

Noémie Aubron Jean-Charles Briatte Fabrice CAINI Marie-Anne Chaloupecky Laurence Charles ✨ISABELLE CHARTON ✨ Caroline Chebassier François-Xavier COURMONT Elodie DAVOUST Sylvie Degeorge SEVERINE FILHO Christel Lebas Virginie Maizeroi Joel Moulin Armel Rondeau Jean-Philippe Samier Benjamin SABALOT Véronique SEEL (Michaut) Les Cabanes Urbaines

#coapi #ess #cooperative #gouvernance #entrepreneuriat #entrepreneur #intelligencecollective

Choisir son statut est une étape décisive quand on souhaite créer son activité indépendante. Entrepreneur.e-salarié.e en coopérative, ou salarié.e en portage ? Voici quelques clés pour mieux comprendre les différences. Et faire votre choix.

Aperçu de l’image


Pour entreprendre tout en disposant des mêmes droits qu’un.e salarié.e, les indépendant.e.s optent le plus souvent pour la Coopérative d’Activité et d’Emploi (CAE) ou le portage salarial.

Au premier abord, les avantages proposés par les deux structures semblent comparables.

🧭 Les CAE comme Coapi – coopérative d’entrepreneurs et les sociétés de portage salarial ont en commun de garantir un cadre juridique et la 𝗽𝗿𝗼𝘁𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲 d’un contrat salarié : assurance maladie, mutuelle, prévoyance, couverture chômage et retraite…

Vous développez votre activité de manière autonome et votre 𝗴𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 comptable et administrative est prise en charge par la structure.

Les CAE et le portage salarial reposent pourtant sur des objectifs, des 𝘃𝗮𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 et des principes d’organisation très différents. Des critères essentiels pour guider votre choix.

En société de portage, vous devenez salarié.e « porté.e » en CDD ou CDI : vous optez pour un cadre juridique, un support administratif et un ensemble de prestations.

🤝 Intégrer une coopérative d’entrepreneur.e.s permet également de bénéficier d’un statut sécurisant et de services mutualisés. Mais c’est aussi faire le choix d’une entreprise partagée, pour 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗰𝗼𝗹𝗹𝗲𝗰𝘁𝗶𝘃𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 autour d’un projet commun.

Ancré dans les valeurs de l’Économie Sociale et Solidaire, le 𝗺𝗼𝗱𝗲̀𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗼𝗽𝗲́𝗿𝗮𝘁𝗶𝗳 repose sur un partage équitable des bénéfices et du pouvoir de décision.

D’abord entrepreneur.e-salarié.e en CDI, puis associé.e, chaque membre de la CAE contribue à financer les moyens mis en commun et participe aux 𝗱𝗲́𝗰𝗶𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗰𝗼𝗹𝗹𝗲𝗰𝘁𝗶𝘃𝗲𝘀.

Entreprendre en CAE, c’est aussi pouvoir compter sur une communauté d’entrepreneur.e.s aux réseaux et compétences variés, et animés par des valeurs fortes de 𝘀𝗼𝗹𝗶𝗱𝗮𝗿𝗶𝘁𝗲́ et d’entraide.

Et cela change tout, quand on est indépendant.e !

Chez Coapi, le 𝗽𝗮𝗿𝗿𝗮𝗶𝗻𝗮𝗴𝗲 par des entrepreneur.e.s expérimenté.e.s permet, par exemple, de trouver un appui, des réponses et des ressources collectives pour résoudre une problématique, ou mieux développer son activité.

Des ateliers de 𝗰𝗼-𝗱𝗲́𝘃𝗲𝗹𝗼𝗽𝗽𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 favorisent le partage de compétences entre membres de la coopérative.

Les groupes de travail et les moments de partage comme les CoapiDays sont aussi l’occasion de créer des collaborations et de s’enrichir des expériences des autres entrepreneur.e.s.

Le modèle coopératif vous intéresse ? Vous aimeriez rejoindre un collectif et entreprendre autrement ?
Rencontrons-nous ! 😊

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Donner forme et sens aux data, pour rendre la connaissance accessible : c’est le métier de Fabrice. Il conçoit des plateformes web pour valoriser et publier, sous forme interactive, les données publiques d’enquêtes ou d’observatoires.

Durant 17 ans, Fabrice CAINI a dirigé le service Etudes de l’Observatoire de la qualité de l’air ATMO Nouvelle-Aquitaine. Dès 2012, il teste son activité indépendante, avant de s’y consacrer pleinement à partir de 2016.

Co-fondateur et associé de Coapi – coopérative d’entrepreneurs, il développe SCAN-datamining au sein de notre coopérative depuis cette date. Au cœur de son activité : la data bien sûr, mais aussi le design et les besoins de l’utilisateur.

♻️ 𝗗𝗲𝘀 𝗼𝗯𝘀𝗲𝗿𝘃𝗮𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗠𝗼𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́, 𝗘𝗻𝘃𝗶𝗿𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝘁 𝗛𝗮𝗯𝗶𝘁𝗮𝘁

Collectivités, observatoires, associations : Fabrice accompagne les acteurs chargés, sur les territoires, d’étudier et d’informer sur les données 𝗲𝗻𝘃𝗶𝗿𝗼𝗻𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗹𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲𝘀.

En collaboration avec ces structures, il conçoit des sites web pour communiquer les données collectées sous une forme claire et lisible par tout.e.s. Objectif : offrir une vision synthétique des enjeux et une 𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘂𝘁𝗶𝗹𝗲 à la décision.

Pour Lig’Air, Fabrice a créé les sites Interqual’Air et Odace, qui permettent à chacun.e de connaître l’évolution des indicateurs 𝗔𝗶𝗿 – 𝗖𝗹𝗶𝗺𝗮𝘁 – 𝗘́𝗻𝗲𝗿𝗴𝗶𝗲 sur son territoire.


Avec l’AREC Nouvelle-Aquitaine, il a conçu une plateforme d’information sur les données recueillies par les 𝗼𝗯𝘀𝗲𝗿𝘃𝗮𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝗴𝗶𝗼𝗻𝗮𝘂𝘅 de la gestion des déchets, l’économie circulaire, l’énergie et les gaz à effet de serre.

De nombreux acteurs publics comme l’Agence d’urbanisme de la région angevine (Aura) ont aussi fait appel à SCAN-datamining pour publier les résultats des 𝗘𝗻𝗾𝘂𝗲̂𝘁𝗲𝘀 𝗠𝗼𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗘𝗠𝗖𝟮 sur leur territoire.

🔗 𝗗𝗲𝘀 𝗱𝗼𝗻𝗻𝗲́𝗲𝘀 𝗯𝗿𝘂𝘁𝗲𝘀 𝗮̀ 𝗹’𝗶𝗻𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻

Pour transformer les data en une information interactive, Fabrice a conçu 𝗗𝗮𝘁𝗮𝗚𝗼𝗻𝗲 : un outil complet dédié à la valorisation des données, de la data brute à la diffusion sur le web.

La solution intègre l’analyse des données et le calcul des indicateurs, mais aussi la création de graphiques et de cartographies personnalisables.

Fondé sur des logiciels libres et 𝗦𝗰𝗮𝗻𝗖𝗵𝗮𝗿𝘁, une bibliothèque de datavisualisation, DataGone est aussi un CMS. Il permet d’adapter le design du site, d’éditer et de faire évoluer ses contenus.

Pour mener à bien ces missions, SCAN-datamining accueille aujourd’hui Romain Simon, étudiant en alternance en Master Informatique à l’Université de La Rochelle.

En projet pour 2024 : un outil permettant aux collectivités d’agréger les données publiques relatives à leur territoire.

Un exemple de réalisation de SCAN-datamining : Ligair, surveillance de la qualité de l’air en Région Centre-Val de Loire : https://interqualair.ligair.fr/ et https://odace.ligair.fr/

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