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Jean Philippe Samier, dans le cadre de ses missions (enseignement, tutorat, animation de réseaux) auprès des étudiants de l’EIGSI, l’école d’ingénieurs de La Rochelle, participe à la réflexion d’une Junior-entreprise sous forme juridique d’une SCIC (Société Coopérative d’Intérêt Collectif). Comparativement à une association étudiante ordinaire, une SCIC présente le double avantage d’optimiser la pérennité de la structure par l’organisation tripartites des collèges et de garantir un certain niveau de qualité de ses actions par le contrôle de cette même gouvernance à 3 têtes.

« Je trouve le concept très intéressant, il permet aux étudiants de se confronter à de vraies missions professionnelles, hors stage ou études de cas qui leur sont proposés. Ils appréhendent la relation client, en travaillant à la hauteur de leurs connaissances. C’est un plus sur leur CV et parallèlement un service réel aux entreprises. Lors de ces missions, les étudiants seront amenés à travailler ensemble, à échanger, à s’épauler, des valeurs qui ont du sens et que nous partageons au quotidien dans COAPI » conclut Jean Philippe !

Pour rappel, en tant que société, pour être immatriculée au RCS, une SCIC doit obligatoirement être agréée par la préfecture du département.
Le capital social d’une SCIC est réparti entre trois catégories d’acteurs minimum :
– les salariés de l’entreprise (les étudiants),
– les personnes qui bénéficient des produits ou services fournis (les alumni : les anciens élèves aujourd’hui dans la vie active),
– et au choix une autre catégorie d’associé (l’administration de l’EIGSI).

 

Cet événement organisé par l’Observatoire du Travail Indépendant s’est tenu le 12 septembre, à l’auditorium du Journal Le Monde à Paris, entièrement consacré aux nouvelles formes d’emplois indépendants. Le colloque s’est ouvert par l’intervention de Muriel Pénicaud, ministre du travail, clôturé par Stefano Scarpetta, Directeur de la Direction de l’emploi, du travail et des affaires sociales de l’OCDE.

Entre les deux, des témoignages, des analyses, des débats pour mieux appréhender « Les nouveaux visages des travailleurs indépendants », les métiers et secteurs porteurs, les enjeux pour ces nouvelles formes d’activité…

Ont également été abordées les questions de l’égalité des droits, de la représentativité, de la formation professionnelle…
Les résultats d’une étude* réalisée par l’IPSOS pour l’Observatoire du Travail Indépendant mettent l’accent sur ces différents points :
– Le statut d’indépendant concerne ou intéresse les français et plus encore les chômeurs.
– Plus de 80% des personnes interrogées pensent que le développement du travail indépendant serait une bonne chose en terme d’emplois (85%), d’épanouissement personnel (86%), de réponse aux besoins des entreprises (82%).
– Une personne sur deux pense que l’activité professionnelle indépendante est une forme de travail d’avenir ! Les secteurs les plus porteurs sont le numérique, l’environnement et la santé.
– Par contre, il y a une vraie méconnaissance sur ce que recoupent ces nouvelles formes de travail (les spécificités et différences entre micro-entreprenariat, coworking, temps partagé, portage salarial, entrepreneur salarié…).

Les attentes ont également été misent en avant concernant la retraite, le droit au chômage, la couverture sociale, la formation professionnelle… Des mesures visant à améliorer et consolider le statut de travailleur indépendant, tout à fait souhaitables si la tendance est au développement de ces nouvelles formes d’activités !

 

*2000 personnes, constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, dont 1096 travailleurs actifs, et 119 demandeurs d’emploi, Du 14 au 21 août 2018 Échantillon interrogé par Internet via Access Panel d’Ipsos.

C’est la rentrée des sports CO

Devenir sponsor d’une équipe de foot, qui plus est U10/U11 (ex-poussins) du club d’Echillais/Saint-Aignant, aurait pu pour certains sembler pour le moins bizarre… Et pourtant, il n’est pas besoin de réfléchir longtemps pour comprendre et saisir toute la cohérence de ce partenariat…

Dans le foot, on préserve l’identité et le talent individuel de chacun au profit du collectif. Ces jeunes sportifs qui entament leur 5ème année de club ont bien compris que le talent, l’énergie, de chacun sont au service du groupe, qu’on ne peut jouer perso, qu’on a besoin des autres.

Le parallèle avec Coapi est une évidence : sans le collectif, l’individualité ne serait rien et les co-entrepreneurs le savent bien.
Ils n’ont peut-être pas deux entrainements par semaine ni un match le week-end, mais ils se retrouvent régulièrement pour partager et s’enrichir des expériences des autres, pour continuer à grandir et à construire ensemble, pour créer une communauté qui les rend plus solides individuellement et collectivement.

Dans la coopérative d’entrepreneurs, c’est le collectif qui décide. Chacun à sa propre activité, chacun conserve son autonomie et chacun prend sa place dans le collectif qui lui apporte son soutien bienveillant, son organisation, ses outils…

C’est ça une équipe !

Avec leurs maillots siglés COAPI, les petits footballeurs de Saint-Aignant nous permettent d’ouvrir une nouvelle et belle page : d’une part l’envie de soutenir l’action des clubs sportifs dans l’apprentissage de la vie en communauté, du respect de l’autre, de la cohésion autour d’un projet commun : des valeurs fortes revendiquées par Coapi ; et d’autre part, la volonté de la Coopérative d’affirmer sa présence, de conforter son image, de se faire connaitre !

 

Profiter de l’été pour souffler un peu et s’occuper de soi… et de son site ! Tel était le souhait d’Emeline et c’est chose faite avec le nouveau look du site Emeline-Graphisme !
La nouvelle version est désormais en ligne, sobre et lumineuse, intuitive et claire…
Une page d’accueil séduisante qui en un coup d’oeil donne l’essentiel des infos : qui elle est, ses champs de compétences, ses références…
On a envie de s’y balader et de découvrir son travail tout en rondeur qui fait la part belle aux harmonies de couleurs, c’est ludique et joyeux, on est en confiance !… c’est par ici

 

Comment identifier et bien gérer son stress au quotidien et en particulier au travail ? Comment utiliser la nutrition, le sport ou encore la culture pour se sentir mieux ?

Du 17 au 21 septembre, c’est la semaine Travaillez Heureux ! Le bien-être au travail est aujourd’hui l’une des problématiques les plus importantes à la fois pour les entreprises et pour leurs salariés. Santé, bonheur, mais aussi productivité, ambiance au travail : le bien-être au travail est au carrefour de bien des enjeux.

Multiburo, spécialiste des centres d’affaire, du co-working ou encore des bureaux partagés,  dans tous ses espaces un peu partout en France, mais aussi en Suisse et en Belgique des dizaines d’animations, conférences et ateliers animés par les meilleurs experts.
Objectif : que chacun puisse identifier et essayer les nouveaux outils et bonnes pratiques supposées remettre le bien-être au coeur de la vie professionnelle. Remettre du sens dans le travail, trouver son autonomie, comprendre l’ergonomie au travail, mais aussi des problématiques comme la confidentialité, l’équilibre vie privée – vie professionnelle : tout cela sera au coeur de la semaine Travaillez heureux. Au programme, vous pourrez aussi découvrir des ateliers nutrition et sport, des méthodes d’organisation au travail, des initiations au yoga, etc. (e-rse.net / 11 septembre 2018)

Le programme complet ici

Fini les vacances, c’est la rentrée ! Et si on en profitait pour changer nos habitudes ? On trie nos mails et nos déchets, on troque la voiture pour le vélo ou le métro…Mais la rentrée, c’est aussi l’occasion de revoir en profondeur son métier et de s’interroger sur la stratégie de son entreprise en matière de RSE. Voici cinq actions qui font partir du bon pied !
Novethic/03/09/18

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Les réunions Coapi sont ouvertes à tous. C’est une occasion de faire connaissance avec la structure Coapi, mais plus largement avec l’univers des C.A.E. (coopérative d’activité et d’emploi). Coapi est une S.C.O.P. qui s’inscrit totalement dans le champ de l’économie sociale et solidaire (E.S.S.). Coapi est une coopérative d’entrepreneurs qui comme son nom l’indique, rassemble des entrepreneurs heureux de cheminer et de progresser ensemble.

Les réunions d’information très complètes de Coapi vous donneront une première approche que vous consoliderez par la suite dans un rendez-vous individuel.

Inscription recommandée – je clique ici pour m’inscrire

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Selon l’enquête menée par Vistaprint sur le bien-être au travail, auprès de 500 dirigeants et 500 salariés, l’entrepreneur serait plus heureux à condition d’avoir la mentalité adaptée à ce style de vie professionnelle. Entreprendre rendrait plus heureux… à condition de cumuler les traits de personnalités suivants.

La passion du métier : la clé du bonheur de l’entrepreneur… et du salarié

En premier lieu, la passion pour son entreprise est certainement le pilier du bonheur. L’entrepreneur est généralement amoureux de son cœur de métier même si avec le temps il le pratique de moins en moins pour se consacrer à la gestion et au management de son équipe. Aimer le produit ou le service que l’on vend et pour lequel on se bat chaque jour, avoir des valeurs et veiller à les respecter dans chacune de ses décisions, autant de fondamentaux pour être heureux, comme entrepreneur mais aussi finalement comme salarié.

Une passion, une vision et une ambition

Pour combler sa passion, il s’agit de tracer son chemin. Savoir où l’on va est une clé pour accéder au bonheur et certainement l’un des traits de personnalité propre à tous les dirigeants épanouis. La création d’entreprise implique effectivement d’être visionnaire, de voir grand et beau pour son projet entrepreneurial et de fixer des objectifs intermédiaires pour atteindre l’idéal que l’on s’est fixé au départ. En bref, avoir une vision est une étape clé pour s’épanouir en entrepreneuriat.

Le goût de l’autonomie et de faire différemment des autres

Le goût de l’autonomie est également une caractéristique nécessaire pour apprécier l’aventure entrepreneuriale. Il s’agit de vouloir prendre ses propres décisions, fixer ses propres objectifs, sa stratégie, son planning quotidien, selon sa vision, sans avoir peur de l’inconnu ni de l’extrême liberté d’organisation qu’implique la création d’une entreprise. Dans la même mouvance, l’entrepreneur est généralement une personnalité qui aime faire les choses à sa manière, et certainement différemment de ce que font les autres. L’envie d’être libre dans sa méthode de travail le taraude, et en général sortir du cadre est pour lui essentiel.

– Cadre et Dirigeant Magazine