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La formation tout au long de la vie est aujourd’hui fortement encouragée dans le monde du travail. Et au sein de Coapi, c’est aussi une réalité !

Cet article très intéressant montre comment les adultes dans leur activité professionnelle ont toujours eu tendance « à se former par eux-mêmes en observant leurs collègues ou manager, en lisant des journaux professionnels, en dialoguant avec leurs pairs »…

Depuis quelques années, et le phénomène est en augmentation constante, « les professionnels ont de plus en plus recours à ces modes d’apprentissage informel numérique : Consulter un tutoriel vidéo sur YouTube ou un dictionnaire en ligne, travailler son anglais dans les transports en commun grâce à une application dédiée…

« À une époque où l’obsolescence des compétences est de plus en plus rapide, l’apprentissage informel devient crucial pour les salariés et professionnels afin qu’ils puissent rester efficace à leur travail ».

Dans l’organisation de Coapi, la mutualisation, les séminaires, les commissions sont autant d’occasion d’échanger des savoirs ou des sources, des pistes de savoirs. Cela fait partie de l’intelligence collective !!!

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Christophe Hulin
Intervenant en management et développement commercial.

Après plus de 20 années en tant que salarié dans des fonctions commerciales en France et dans les DOM, j’ai intégré la couveuse d’entreprises de la Rochelle en octobre 2015 afin de lancer mon activité d’intervenant en management et développement commercial.


Mes 3 années passées au sein de la CECM m’ont permis d’appréhender un spectre large de mon activité, de finalement développer des activités de formateur et d’enseignant mais surtout de découvrir le monde associatif, participatif, de partages et d’échanges.


Fort logiquement, j’ai intégré COAPI en octobre 2018 toujours dans cette volonté de travailler ensemble, avec un esprit participatif, coopératif mais aussi avec un accompagnement administratif et comptable qui correspond à mes attentes tant professionnelles que personnelles.

Aujourd’hui,
40% de mon temps est consacré à l’enseignement (Université de La Rochelle marketing du point de vente, distribution, en BTS et à Audencia Nantes : management commercial)
40% à la formation intra et interentreprises sur des thèmes commerciaux, managériaux, distribution tant sur Paris, Nantes, La Rochelle
20% à des missions d’accompagnement d’entreprises sur des thématiques commerciales (dernier exemple en date : Le Cokon à La Rochelle, The Peak en collaboration avec d’autres entrepreneurs salariés Coapi).

En résumé, Coapi c’est : un cadre qui me correspond, des valeurs partagées et un sens essentiel entre mes actions et notre environnement !

Nous sommes plusieurs data analystes au sein de Coapi et nous proclamons : RAP is in the air…

Connaissez-vous le RAP pour « Reproducible Analytical Pipelines » (conduite ou processus d’analyses reproductibles)

Son objectif ?

“reduce production time, whilst maintaining and even improving the quality of the publications”

Cette approche, essentiellement pour l’instant en déploiement dans l’administration britannique, ne peut que parler à tout professionnel data, concepteur, manipulateur, analyste de données massives. Elle va au delà de la simple industrialisation d’une publication statistique

Le concept théorique du RAP est décrit dans ce document : https://ukgovdatascience.github.io/rap_companion/

Notre point de vue

La mise en place de solutions de publications automatisées présente deux avantages de gain de temps et de qualité sur la production de rapports récurrents et de mise en place d’une organisation plus robuste dans la production de publications statistiques.

D’autres avantages ne sont pas négligeables :

  • la possibilité de suivre les versions du code qui crée les rapports,
  • d’effectuer des contrôles qualité automatisés,
  • et de partager des méthodes grâce à la publication des packages créés.

Ces solutions ouvertes peuvent remplacer la création manuelle de rapports ou de publications, source d’erreurs humaines, chronophages, et parfois ayant des méthodologies difficiles à reproduire ou réutiliser.

Analystes et manipulateurs de data, nous faisons l’hypothèse que le confort de travail de l’analyste en processus RAP peut rendre plus fluides les décisions de créations de nouvelles publications (attitude pro-active vs réactive de l’équipe).

Selon une première revue de littérature, après plusieurs expérimentations RAP dans différents services du gouvernement anglais, des premiers facteurs de réussites ont été identifiés. “Afin d’avoir une implication maximale des équipes, une adhésion des principes RAP par les managers et une formation continue ciblée pour les équipes sont essentielles”.

Pas de RAP sans DataOps “spirit”.

Convaincus par le concept DataOps, nous sommes tous signataires du Manifeste The DataOps Manisfesto, comme première étape de notre découverte du RAP.Le data Ops fait écho aux années d’expériences de traitement, d’analyse et de communication de la donnée des différents membres de la data team Coapi :

Fabrice Caini, Rose Campbell, Veronique Seel, Guillaume Savarit

La Rochelle, Avril 2019

En savoir plus ? Première revue de littérature :
Upson, M. (2017) Reproducible Analytical Pipelines,
https://dataingovernment.blog.gov.uk/2017/03/27/reproducible-analytical-pipeline/ , accessed 25/04/2019.
Gregory, M & Upson, M.(2019). RAP Companion,
https://ukgovdatascience.github.io/rap_companion/, accessed 25/04/2019
Baumer, B., Cetinkaya-Rundel, M., Bray, A., Loi, L., & Horton, N. J. (2014). R Markdown: Integrating a reproducible analysis tool into introductory statistics. arXiv preprint arXiv:1402.1894.
Xie, Y., Allaire, J. J., & Grolemund, G. (2018). R markdown: The definitive guide. CRC Press.
Munafò, M. R., Nosek, B. A., Bishop, D. V., Button, K. S., Chambers, C. D., Du Sert, N. P., … & Ioannidis, J. P. (2017). A manifesto for reproducible science. Nature human behaviour, 1(1), 0021.
Bauer, F., & Kaltenböck, M. (2011). Linked open data: The essentials. Edition mono/monochrom, Vienna, 710.
Maali, F., Cyganiak, R., & Peristeras, V. (2012, May). A publishing pipeline for linked government data. In Extended Semantic Web Conference (pp. 778-792). Springer, Berlin, Heidelberg.
Villazón-Terrazas, B., Vilches-Blázquez, L. M., Corcho, O., & Gómez-Pérez, A. (2011). Methodological guidelines for publishing government linked data. In Linking government data(pp. 27-49). Springer, New York, NY.
Peng, R. (2015). The reproducibility crisis in science: A statistical counterattack. Significance, 12(3), 30-32.
Janssen, M., Charalabidis, Y., & Zuiderwijk, A. (2012). Benefits, adoption barriers and myths of open data and open government. Information systems management, 29(4), 258-268.

Chez Coapi, nous sommes concernés par l’esprit coopératif et nous ne pouvons qu’être interpelés, enhardis par ce bel exemple de (re)groupement motivé par un objectif commun, l’envie de réussir quelque chose ensemble:

…  » Mais la vraie clé du succès reste la forte implication des membres autour d’un projet de territoire porteur de sens. « Ça a été pour nous un ressort plus puissant que la recherche de la plus-value », confie Charles Laurent, le président de la coopérative. Il avoue aussi que le projet les a transformés profondément, humainement comme professionnellement. « Quand je travaille, je ne pense plus « produire du lait », je pense « fabriquer et vendre un fromage ». Et ça n’a pas les mêmes implications au quotidien sur ma ferme ! Nous avons énormément appris au travers des problèmes que nous avons eu à gérer, des rencontres que nous avons faites. Les épreuves que nous avons traversé ont soudé le groupe. C’est une aventure humaine que nous vivons au quotidien », confie-t-il, ému du chemin parcouru.

L’implication des membres de la coopérative est incontestable…
…En prenant du recul, ils reconnaissent avoir été un peu « fous » de s’embarquer dans une telle aventure, qu’ils se sont un peu laissés emporter par leurs idéaux. Mais aucun ne le regrette, comme si cela avait apporté une vrai plus à leur quotidien, un sens à leur vie, une bonne raison de se lever tous les jours pour aller faire la traite. « …

L’intégralité de l’article qui soutient l’esprit coopératif « Comment une coopérative laitière émancipe les agriculteurs de leur soumission aux multinationales et au marché«   à retrouver ici.

Alors que Coapi revendique promouvoir non pas une nouvelle forme de travail mais une nouvelle façon de considérer la valeur du travail, avec de la bienveillance, de la mutualisation et du partage, tout en cultivant l’autonomie de chacun, l’article d’Olivier Magnan sur le site ecoreseau.fr montre le chemin parcouru en retraçant l’évolution du travail : « De l’esclavage aux start-up sans contraintes »  !

Dans l’Antiquité, les Grecs et les Romains cherchaient à tout prix à se libérer du travail et de l’artisanat qui les rattachaient à l’animalité. Pour Aristote, le travail était un « genre de vie ignoble et contraire à la vertu ».
Au Moyen-Age, l’organisation change peu : il y a les seigneurs qui font la guerre, les paysans miséreux à leur service tandis que dans les villes commence à se développer une bourgeoisie commerçante dont le travail crée la richesse.
Jusqu’au XVIIème siècle, les choses n’évoluent guère, certes les seigneurs font moins la guerre mais l’aristocratie est plus oisive que jamais tandis que la besogneuse bourgeoisie continue d’affirmer sa puissance.
Aux XVIIIème et XIXème siècles La révolution industrielle transforme la notion de travail qui devient valeur d’échange : « tout travail mérite salaire » !

En 1936 sont instaurés les congés payés en même temps que les conventions collectives…
En 1946, dans le préambule de la constitution de l’Organisation Mondiale de la Santé, il est affirmé que « la santé est un état complet de bien-être physique, mental et social, pas seulement l’absence de maladie ou d’infirmité ». Le mot, « bien-être », est lâché, mais ce n’est pas pour autant qu’il entre dans le champ du travail…
Dans les années 80 on s’intéresse aux horaires de travail ; dans les années 90 à l’équilibre entre vie privée et vie professionnelle. Avant qu’au tournant des années 2000 l’on dénonce le harcèlement moral,
À partir de 2003, l’épuisement professionnel qu’on ne connaissait que chez les japonais arrive chez nous, c’est l’entrée en scène du burn out puis du bore out (l’ennui au travail) et autres blurring (confusion vie pro/vie perso).

Enfin depuis 2010, les générations X,Y et Z rejoignent le monde du travail et plus particulièrement les start-up, qu’ils abordent avec une autre philosophie, celle de privilégier leur vie personnelle, exit les horaires et les contraintes… mais une règle : que les objectifs fixés soient obtenus.
« Obligation de résultat contre auto-organisation fondée sur la confiance. Le bien-être au travail passera t- il par cette forme de lâcher prise ? » questionne olivier Magnan

Coapi s’inscrit dans cette dynamique du bien-être au travail : pas de hiérarchie, pas de contraintes horaires ou d’objectif, mais juste quelques règles pour le bien-vivre ensemble.
Une qualité de vie qui passe par un statut sécurisé, une attention et des pistes pour améliorer les conditions de travail, des partages de connaissances, etc. mais sans toucher à l’indépendance de chacun.

Santé et travail, une affaire de contexte ?

Dans le registre santé et travail, Coapi comme toute entreprise, se confronte aux exigences du Document Unique de l’Evaluation des Risques. Obligatoire depuis 2001, la démarche consiste à lister l’ensemble des risques dans la pratique du métier, de manière à anticiper le mieux possible les situations qui pourraient mettre à mal la santé des salariés.

Comme Coapi est une coopérative d’entrepreneurs indépendants, ce qui s’applique à logique de l’entreprise s’applique à chaque entrepreneur.euses.

En terme de santé et travail, réfléchir au risque semble être une évidence pour un couvreur, un livreur, un pêcheur, mais quand il s’agit d’un métier avec peu de mouvements, où l’on est assis le plus clair de son temps devant un ordinateur, la notion de risque fait même un peu sourire, et pourtant…

Santé et travail, la convergences des touches

Coapi, coopérative d’activité et d’emploi rassemble de nombreux métiers avec des univers très différents d’un professionnel à l’autre. Pour autant, il est un point commun à l’ensemble des professionnels de Coapi et du monde entier, l’utilisation quotidienne du clavier.
Ce point commun, presque lieu commun, tant il est évident que chacun y passe sans trop se poser de question, regorge de subtilités pas toujours ergonomiques et d’une faune hallucinante de bactéries alléchantes.

Depuis combien de temps n’avez-vous pas nettoyé votre clavier d’ordinateur ?

Une étude récemment publiée, et dont vous pourrez voir les détails en suivant ce lien, explique à quel point 97% de nos claviers sont infestés de bactéries. Si la grande majorité de ces bactéries sont celles que l’on trouve dans l’environnement de la peau de l’être humain, certaines, peut-être cachées sous la lettre “R”, ou encore le point d’exclamation, pourraient être des Staphylococcus aureus, voir des clostridium difficile, ou encore  Enterococcus, et cerise sur le gâteau, des Escherichia coli.

Nous nous lavons régulièrement les mains en sortant des toilettes, mais c’est un peu comme si nous les plongions dans la cuvette en revenant nous asseoir devant l’ordinateur. Il existe de nombreuses façon de nettoyer son clavier d’ordinateur, cela sera sans doute l’occasion d’un autre article, mais je vous recommande de ne pas l’attendre pour agir.

 

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Santé et travail, une nouvelle ergonomie du clavier

Nous sommes finalement assez peu dans le monde à utiliser le clavier Azerty. Je précise car tout le monde n’a pas forcément fait le lien, le nom de ce dernier est en lien avec l’enchaînement des lettre sur la ligne ou se trouve le “A”. Une autre façon de disposer les lettres sur un clavier est par exemple le Qwerty, bien connu des contrées anglo-saxonnes. Nous pourrions nous dire que l’Azerty est francophone, ce n’est pas faux, mais il n’est pas forcément de mise partout. En Suisse par exemple, même en partie francophone, le Qwerty règne.

La donne pourrait toutefois changer. De nombreux travaux sur l’étude de l’ergonomie des claviers et sur les limites de ces derniers font émerger des changements qui vont prendre place sur nos claviers dans les mois à venir. Ces changements sont en lien avec les mouvements répétitifs  sur nos “planches à lettres”, avec une volonté d’améliorer les gestes et de soulager les articulations des doigts. Vous découvrirez aussi très bientôt des changement en lien avec des lettres qui n’était pas très accessibles, comme les majuscules accentuées ou encore le “Ç” (cédille) et suprême délice, le “E” dans le “O”.
Je m’aperçois en écrivant cet article, que je ne sais pas où le trouver directement sur mon clavier pour le faire apparaître ici. (Si vous détenez le secret, merci de nous livrer la solution! 😉 )
Et si vous souhaitez en savoir plus sur la modifications très prochaine de nos claviers, je vous recommande la lecture de cet article.

Pour ce qui est de santé et travail, vous ne pourrez plus dire : “Mon clavier, je m’en lave les mains”.

Anne Jouvin
Anne Jouvin – Journaliste/Rédactrice

 

Début février, j’ai intégré Coapi, après avoir navigué autour quelques mois !
J’y vais, j’y vais pas…
pas facile de sortir d’une situation bien installée depuis presque 10 ans en tant que micro-entrepreneur… et paradoxalement je n’attendais que cela.
Envie de retrouver une équipe, de partager des questions, des réflexions, d’échanger sur un mode collègues et plus seulement client/prestataire.
Coapi conjugue cette attente de partage et le besoin d’autonomie.
Je suis rédactrice et j’écris depuis une vingtaine d’années successivement pour un site internet dédié au tourisme, puis en agence de presse, et depuis 2010 en solo pour des médias, des collectivités, des entreprises… Au fil du temps, j’ai pris conscience que ce qui me plaisait dans l’écriture était l’écoute !…
Et j’aimerais développer ce volet en travaillant sur des récits de vie, récits d’entreprises…

Dans le cadre du Grand Débat National, La Confédération générale des Scop a souhaité que chaque composante du mouvement puisse apporter sa pierre à l’édifice.
Les Scop et Scic sont au nombre de 3 300, représentent quelque 60 400 salariés et 5,5 millards de CA !

Près de 350 coopératrices et coopérateurs se sont prononcés sur des axes de progrès et des propositions pour une économie plus humaine, des entreprises plus responsables socialement, plus respectueuses de l’environnement et des territoires, également plus démocratiques.

Le mode d’entreprendre, le mode de gouvernance, le partage des profits ont été mis en avant comme incontournables à porter au débat et remettre l’humain au cœur de l’entreprise.

Une synthèse des propositions a été rédigée, organisée en plusieurs chapitres

Version intégrale de la contribution collective

Plus de carrières linéaires, plus de métiers bien définis… C’est l’analyse de Bénédicte de Raphélis Soissan, fondatrice de Clustree qui explique qu’aujourd’hui et bien plus encore demain, nous n’enchainerons plus les postes mais des missions, chacune mobilisant des compétences propres.

Jusqu’à peu, un métier définissait un ensemble de tâches, fonctions, obligations, etc. bien définies laissant peu de place au changement, un métier fixait la ligne à suive pour les années à venir et permettait de « faire carrière »…
Les nouvelles technologies, la rapidité avec laquelle le monde évolue et se transforme, la facilité des échanges à travers le monde, un autre rapport au travail des nouvelles générations ont tout bouleversé.

Ainsi la notion de métier est en voie de disparition car les entreprises ont devant elles des défis ambitieux à relever demandant des compétences bien précises mais aussi de les faire interagir entre elles.

Par compétences, on entend tout ce que peut apporter le collaborateur : connaissances, techniques, comportement,… ce qui sous-entend également de s’affranchir des critères habituels liés à l’âge, les diplômes, l’expérience, le genre…

L’approche par compétences remet tout le monde sur un pied d’égalité face à une opportunité et permet des transversalités enrichissantes : le travail en mode projet, la fluidité et la mobilité en interne.

coapi chemin cooperatifs cooperative charente maritime

 

L’organisation d’une Coopérative d’Activités et d’Emplois, et donc de Coapi, peut être une réponse à ces évolutions puisque chacun des entrepreneurs-salariés avec ses propres compétences peut interagir avec celles des autres et ensemble se positionner sur des projets plus ambitieux que personne n’aurait pu assumer seul.

Coapi n’est pas juste un regroupement d’activités, mais devient une entreprise apprenante où chacun s’enrichit des compétences des autres et des synergies possibles.
De fait elle permet à chacun d’évoluer dans son métier, d’orienter son activité, d’élargir son champ de compétences, etc.
Elle propose une vision de l’entreprise particulière et innovante : tout en proposant une structure rassurante, un accompagnement qui va au-delà de la simple plateforme administrative, elle encourage l’esprit d’entreprendre et la dynamique commerciale.
L’entreprenariat collectif a le vent en poupe !

QZN et Jérôme Abel présentent « Logariat »

Récemment arrivé dans la région, Jérôme Abel a rejoint Coapi en septembre 2018.

Depuis il a déjà créé et développé plusieurs performances artistiques à Niort, La Rochelle, etc…

Depuis la mi-mars avec l’association QZN, ils ont été accueillis au Carré Amelot pendant trois semaines pour développer un projet de performance audiovisuelle sur le corps, le numérique et l’écriture.
Ce projet est né d’un questionnement sur les postures physiques des travailleurs sur ordinateur et sur la diversité des actes d’écritures disponibles aujourd’hui : programmation, poésie, échanges personnels, lois, normes, formulaires, etc.

Le nom « Logariat » associe deux particules, « ariat » pour la communauté des travailleurs subordonnés aux « logs », à toutes les traces numériques, à ces identités répétitives et formatées.Cette résidence a aussi été l’occasion de proposer des temps d’échanges avec la communauté Arts & Sciences de La Rochelle.

Sortie de résidence jeudi 4 avril pour découvrir l’aboutissement de ces trois semaines d’exploration et d’expérimentation.
Deuxième opus le 8 juin, suite de l’aventure !