En tant que Coopérative d’activités et d’emplois, COAPI se construit autour du collectif !
Un récent article (à lire ici) met en avant ce drôle de paradoxe du monde du travail :
« la reconnaissance au travail est stratégique pour l’entreprise et essentielle pour les salariés. Et pourtant, elle reste davantage synonyme d’incompréhension et de souffrance dans l’univers professionnel. »
Pour l’auteure de cet article, « le mal-être en entreprise est aussi préoccupant que le burn-out ajoutant que les experts identifient le manque de reconnaissance comme le premier risque psychosocial… devant la charge de travail. »
En regard du temps passé au travail, la question est grave !
La force d’une coopérative est d’être « un bien commun » dans lequel chacun a le pouvoir, la possibilité, la chance de s’impliquer, et d’exister avec les autres.
Un peu plus loin, la journaliste écrit que « la difficulté avec la reconnaissance ne réside pas uniquement autour d’une incompréhension entre, d’une part, les salariés qui ne se sentent pas considérés à leur juste valeur pour leur travail et, d’autre part, le manager qui souffre que son équipe ne voit pas tous les efforts qu’il fait pour elle. Le problème pourrait être lié à notre conception de la reconnaissance en entreprise que l’on n’envisage jusqu’à présent que de manière verticale et focalisée sur les résultats individuels. » Et de proposer que « Si le collectif apporte plus de justesse, pourquoi l’entreprise ne permettrait pas à ses salariés de reconnaître de façon officielle et régulière leurs collègues ? »
En coopérative, la verticalité n’est pas une question pas plus que la mise en comparaison des résultats individuels, par contre il y a toujours la volonté d’accompagnement, d’écoute, de partage, de trouver des synergies, des mutualisations.
C’est une autre manière d’envisager la vie au travail !